On présumait que leur statut permanent était le garant d’une certaine stabilité. On les pensait à l’abri des incertitudes qu’a fait peser la pandémie sur l’immigration au Québec. On se trompait.
La rentrée universitaire d’automne a été marquée par une baisse du nombre d’étudiants étrangers, confrontés à une nouvelle réalité qui influence leur intégration autant que leur réussite.